La présence du crucifix peut aisément être interprétée par des élèves de tous âges comme un signe religieux et ils se sentiront éduqués dans un environnement scolaire marqué par une religion donnée. Ce qui peut être encourageant pour certains élèves religieux, peut être perturbant émotionnellement pour des élèves d’autres religions ou ceux qui ne professent aucune religion. Ce risque est particulièrement présent chez les élèves appartenant à des minorités religieuses. La liberté négative n’est pas limitée à l’absence de services religieux ou d’enseignement religieux. Elle s’étend aux pratiques et aux symboles exprimant, en particulier ou en général, une croyance, une religion ou l’athéisme. (Lautsi przeciwko Włochom, skarga nr 30814/09, wyrok z dnia 3 listopada 2009, pkt. 55)
(Dyskusja w polskiej prasie, nie wiedzieć czemu, dotyczy obecności krzyży w instytucjach publicznych, a nie zgubnego wpływu, jaki ukrzyżowany Chrystus może wywrzeć na biednych małych Europejczyków).